C’est grâce à la tendresse de ses parents, grâce aussi à leur regard sur le monde que l’enfant Guy Gilbert a compris l’amour de Dieu. Il l’intègre à sa vie quotidienne de prêtre, il le retrouve dans le silence qui lui est si nécessaire pour se recréer. Il en nourrit sa foi, confortée par toutes les manifestations de Dieu, qui donne sa cohérence au monde malgré les incohérences des hommes, leurs crimes et leurs excès inlassablement dénoncés. Il en retire une morale pratique, une conception vraiment universelle de l’Eglise, parce que sans aucune exclusion. Il ne l’oublie pas, qu’il parle des guerres, du racisme ou de la sexualité, de ” ses ” jeunes à la Bergerie de Faucon ou ailleurs, arpenteur inlassable des terrains minés de la drogue et de la violence, curé de tous les dangers et de toutes les interventions. ” Dieu est la passion de ma vie depuis l’âge de treize ans… Sans mon premier et seul amour, rien n’aurait été possible. La puissance de cet amour m’a permis, jour après jour, d’offrir à des jeunes ce que j’ai puisé dans le cœur de Dieu.
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