Angélique, enfant trouvée, s’enfuit de chez sa nourrice. Recueillie par un couple de brodeurs, elle grandit là comme dans un cloître, loin du monde, niant le mal. «Le mal… on n’a qu’à le vaincre, et l’on vit heureux», pensait-elle.
L’amour vient sous les traits d’un peintre, Félicien d’Haute coeur, fils d’un gentilhomme devenu évêque. L’idée du plus léger empêchement à leur mariage ne pouvait effleurer Angélique : «On s’adore, on se marie, et c’est très simple. » Mais l’évêque refuse
son consentement. Angélique se meurt. Elle mourra même de bonheur en rendant l’âme dans les bras de Félicien.
Le Rêve, c’est l’éternité d’un mythe, c’est aussi, entre les deux romans les plus noirs de Zola, La Terre et La Bête humaine, une halte dans cette description des vices de la société du Second Empire. Un hymne à l’amour.
Reviews
There are no reviews yet.